Études de notoriété
et d'image

Image et notoriété, ce qu’en pense le public

L’étude de notoriété n’est pas un gadget pour les grandes entreprises, les chaînes et les réseaux à vocation commerciale. Elle leur sert autant à prendre des décisions pour mieux orienter leur communication, qu’à mieux se placer par rapport aux actions de la concurrence.

C’est le seul moyen de connaître l’importance d’une marque dans l’esprit des clients. Or, une entreprise à forte notoriété — bref, qui est connue du public qu'elle cible — vend mieux et plus facilement ses prestations. Les consommateurs se tournent généralement vers des marques et des réseaux qui leur sont connus et/ou dont ils ont entendu parler. Cela les rassure.

Pour les candidats à la franchise, exploitants indépendants, connaître la notoriété de la chaîne ou de l’enseigne que l’on souhaite rejoindre devrait servir de préalable à toute affiliation.

Nous pouvons, quand cela s’avère nécessaire, compléter les études de notoriété par des études qualitatives d’image.

À quoi ça sert ?

  • Mesurer le niveau de connaissance/reconnaissance de votre marque ou entreprise auprès de votre clientèle visée
  • Estimer votre impact commercial ou celle de la chaîne chez qui s'affilier (la notoriété fait vendre)
  • Vous positionner par rapport à vos concurrents
  • Vous aider à décider dans l'orientation de vos opérations de communication et de promotion

Que comprend une étude ?

Interroger les « vrais » consommateurs, voyageurs, clients

Nos études se font de manière fiable, en contrôlant la valeur des  échantillons interrogés. Aussi, nous ne réalisons des études de notoriété qu’en face-à-face assisté, auprès de vrais consommateurs identifiés et ciblés.

Nous excluons de ce fait les enquêtes de notoriété faites sur Internet ou par téléphone, qui ne permettent pas de vérifier qui y répond et si les personnes interrogées sont bien en phase avec les questions posées et les comprennent. Ces dernières méthodes d’enquêtes ne sont pas crédibles, sauf à interroger directement des clients identifiables pour savoir par exemple ce qu’ils savent des concurrents.

Coach Omnium réalise plusieurs fois par an des études de notoriété par souscription ou à compte d’auteur. Par exemple, la notoriété des enseignes des chaînes hôtelières.

  • Par souscription, le coût de ces études peut être mutualisé entre plusieurs clients, ce qui permet à chaque opérateur (chaîne, groupe) de « s’offrir » une étude de ce type auprès de la clientèle avérée, à budget raisonnable, qu’il ne pourrait ou souhaiterait pas financer seul.
  • En exclusivité : l’étude n’est réservée qu’à un seul opérateur et lui revient par conséquent avec un budget plus élevé que la souscription mutualisée.

Contenu

Les études prennent en compte et restituent les résultats sur la notoriété spontanée, le "top of mind", la notoriété assistée et la notoriété globale d’une marque / enseigne, avec une présentation des mêmes résultats sur toute la concurrence citée par la clientèle interviewée. Cela permet notamment de positionner la marque par rapport aux concurrents.

Enfin, nous pouvons la plupart du temps présenter les progressions de scores de notoriété quand des enquêtes précédentes ont été réalisées par nous.


• Budget : étant réalisée en face-à-face auprès d’un public ciblé, l’étude de notoriété est plus coûteuse que pour des enquêtes par Internet, lesquelles ne sont, encore une fois, pas fiables. Compter un budget allant de 6.500 € HT pour un échantillon réduit avec peu de tris croisés, à environ 13.000 € HT pour un échantillon très complet.

La notoriété (être connu) fait vendre. L'image (si elle est bonne) rassure.

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Témoignages

temoignage

Cet email pour vous remercier d'avoir publié gratuitement "l'étude sur l'impact de la commercialisation des hôtels sur la clientèle hôtelière". 

Romain Wirth

temoignage

Je n’hésite pas une seconde à vous dire un énorme merci pour toutes ces études que vous mettez à notre disposition gratuitement, bien faites, pertinentes et souvent surprenantes

Véronique Marsillot

temoignage

Votre analyse sur "Airbnb et la clientèle hôtelière" a apparemment froissé quelques professionnels. Que cela ne vous décourage pas, car nous avons besoin de vos études dans les collectivités comme la mienne. 

Jean-Pierre B.